Tu me saoules

Tu me saoules avec tes conneries. Je ne suis pas sûr que tu veuilles vraiment me faire plaisir. Tu sais bien que je déteste les trucs immoraux. Elle m’a répondu d’un ton calme et déterminé en me faisant entrer dans la pièce, puis a disparu. Elle était toujours là, immobile, les yeux baissés, les lèvres tremblantes, les sourcils froncés. Je l’ai regardée attentivement. Elle portait une chemise blanche qui se fendait au-dessus de son nombril. Un jean bleu foncé moulant lui arrivait jusqu’au bas des fesses et mettait en valeur ses longues jambes. Son visage était pâle et fatigué. Elle souriait faiblement et semblait dormir profondément. Je pouvais voir sa main caresser doucement son dos, puis descendre plus bas pour saisir un de ses seins, le pincer doucement et tirer légèrement dessus comme si elle cherchait à s’enfuir. Je pouvais voir le tissu blanc du soutien-gorge se tendre lentement sur son ventre Martina nymphomane anal.

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