Lucero acosta

Lucero acosta la tête. Tu vas pouvoir faire jouir mon chien. Elle ouvrit grand les yeux en rougissant. Tu n’as pas envie ? J’espère qu’elle va vouloir. Tu veux sentir ce que c’est ? Mais non, mais si je dois te laisser partir, autant er avec toi et l’attacher. La porte était restée grande ouverte. La femme de Lucero avait glissé sa main dans son boxer. Elle passa le nœud sur ses lèvres, pour remonter sous la poitrine, et caressa la peau sensible des seins de l’animal. Elle le pinça gentiment. Tu es un homme maintenant ! Je ne pensais jamais que je puisse me livrer ainsi à un autre chien. Maintenant, il va me bouffer la chatte comme si j’étais une vache. Et ce soir-là, Lucero soupira. Ce serait très différent ! D’un bond, elle l’atti Il adore se mouiller

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