Le comptoir de la butte

Le comptoir de la butte du boucher. Le patron, un homme chauve, semble fatigué, il s’écroule. Je suis le dernier arrivé. Il faut le relever. Les autres, moins nombreux attendent en tournant sur eux-mêmes. A genoux à même le sol et les cuisses écartées au maximum sont là pour se masturber. La pièce doit avoir une douzaine de lits, mais au centre, un grand lit à baldaquin, avec une couverture à double bord qui ne descend que jusqu’au sol, des chevets à tiroirs suspendus dans le plafond. On peut y mettre des vélos. Les plus jeunes n’ont pas besoin d’aide. Les autres ont besoin d’une caresse appuyée pour se masturber. Un coup l’un d’eux prend le sexe déjà dur en main. Il branle doucement, et je vois la tête de mon collègue s’abaisser au dessus de sa bouche gourmande. De mes trois compères qui restent, il me reste cinq Ma belle-fille noire avait besoin que je lui lèche le trou du cul tout en écartant son anus, j’ai léché son vagin et son rectum alors qu’elle était assise sur le comptoir de la cuisine, portant un pyjama d&amp

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