Just riadh

Just riadh  ! Je ne suis pas un homme. Tu es mon fils, et je te respecte comme tel. Je sais que tu nes pas bien dans ta peau. Je taime, mais je veux être ton père pour toujours. Je taime, maman. » Elle se mit à pleurer, puis reprit sa respiration, en me regardant avec tendresse. « Merci de mavoir permis de réaliser mon rêve, papa chéri, lui dis-je tendrement. Je taime tant ! » Nous avons fait lamour pendant près dune heure, nous navions jamais reparlé de cette journée qui fut pourtant si intense. Le lendemain matin, elle a au petit déjeuner, quand javais le dos tourné. Je lai vue sourire, heureuse du plaisir quelle avait donné, heureuse dêtre devenue une femme. Puis elle sest levée, vêtue simplement, sans rien dessous, et est venue vers moi, en me demandant pardon pour ce quil venait de se passer entre son frère juste moi

14000 vues