Incase futa
Incase futa loco quand elle se pencha en avant pour poser ses mains sur mes épaules, et que je sentis sa peau nue contre moi. Je ne pouvais pas bouger un muscle tant que je n’avais pas senti la caresse d’un sexe masculin dans ma chatte trempée par le désir. Elle bougeait avec grâce, sa main caressant mon dos et descendant vers le creux de mes reins. Le mouvement de son corps était doux, sensuel. La chaleur humide de sa peau me faisait frissonner. Elle m’encourageait à l’accompagner tout au long de son voyage. Ce contact charnel était plus intense qu’à chaque fois que nous avions dépassé les 100 km/h, mais il avait toujours cette force qui vous coupait le souffle, qui vous faisait sentir comme si c’était vous, même s’il f ait parfois faire très mal pour ne pas blesser votre partenaire ou même vous donner des douleurs insupportables pour être honnête. Je Belle-mère et la dernière fois