Humk

Humk ! » Je me suis mise à genoux devant lui, et j’ai pris sa bite dans ma bouche. Je l’ai sucée avec vigueur pendant quelques minutes avant qu’il ne se mette à jouir sur mes seins. Puis je me suis relevée pour er m’asseoir au bord du lit, les cuisses écartées, en écartant bien les jambes. Mon mari était ongé sur le dos, son sexe dressé vers moi, et je me suis empalée lentement dessus jusqu’à ce que mon vagin vienne toucher ses couilles. Après avoir repris nos esprits, nous avons discuté un moment de la soirée, puis, il a demandé si je voulais recommencer, car c’était nouveau comme sensation. J’aimerais beaucoup essayer. Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi La petite partouze Comme une chienne Dans les dunes « Il n’y avait pas que des galets qui poussaient sur le sable chaud. Un voy Filles lesbiennes perverses

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