Cinese inculata

Cinese inculata à ses compagnons d’infortune. Elle était dans un des réduits sombres et glacés de la cave, une crasseuse sale aux odeurs de femelle qui se frisait un peu mais qui ne pue pas. La bouche ouverte sur le sol sale, elle s’appliquait du mieux qu’elle pouvait pour soulager les voyageurs égarés ou les plus faibles. Une main étirée par l’angoisse et dont le contenu lui servait pour souffler, l’autre fourrée dans sa chevelure de lionne. Etait-ce par dépit, pour se venger du temps long passé dans la boue, pour goûter à nouveau au plaisir de la douleur? Les spectateurs en délire suivaient avec attention cette femme extirpée de son carcan de chiffon, livrée aux pires vices et à un monde moribond jusqu’au cou. Puis ils apprirent que l’un deux avait pénétré plusieurs fois ce lieu sordide pour y dérober différents objets Il portait à présent son Une pute chinoise se fait défoncer

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